Nicolas Delsaux
2014-08-13 07:08:06 UTC
Le casse du continuum by Léo Henry
rating frequency % #
5 0% 0
4 0% 0
3 40% 4
2 50% 5 <== je suis là
1 10% 1
Mass Market Paperback, 304 pages
Published March 27th 2014 by Gallimard
ISBN13 9782070451470
edition language French
Ce roman nous raconte comment sept voleurs sont rassemblés pour tenter
de pénétrer illégalement (bien sûr) dans l'ordinateur puissament magique
régissant les coulisses de l'ensemble des mondes habités.
c'est une histoire bien simple, bien distrayante, que je placerai au
même niveau que Daemone : du pulp, mais écrit comme aux XXIème siècle.
Et si la quatrième de couverture nous parle ad nauseam d'Ocean's Eleven,
j'y ai plutôt vu pour ma part les mânes de l'Incal.
on trouve ainsi deux chapitres intitulés "ce qui est en haut" et "ce qui
est en bas", sept personnages (oui, je sais, c'est vraiment loin d'être
la seule histoire nous présentant sept personnages centraux format corps
contre l'adversité), et une tendance à l'eschatologie : en quelque
sorte, cette intrusion signe la fin des temps et la renaissance d'un
nouveau monde, assez semblable à l'ancien (comme L'incal, justement).
Bon, cela dit, certains décors sont plutôt amusants (le port virtuel),
comme certains personnages, mais je n'ai pas vraiment ressenti de
frisson en lisant cette histoire. C'est raisonnablement bien fait, mais
franchement, après l'avoir lu il y a moins d'un mois, j'en garde
véritablement très peu de souvenirs.
Alors du coup, je ne peux pas vraiment vous pousser à lire ce roman
correctement écrit, mais curieusement sans âme.
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3 40% 4
2 50% 5 <== je suis là
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Mass Market Paperback, 304 pages
Published March 27th 2014 by Gallimard
ISBN13 9782070451470
edition language French
Ce roman nous raconte comment sept voleurs sont rassemblés pour tenter
de pénétrer illégalement (bien sûr) dans l'ordinateur puissament magique
régissant les coulisses de l'ensemble des mondes habités.
c'est une histoire bien simple, bien distrayante, que je placerai au
même niveau que Daemone : du pulp, mais écrit comme aux XXIème siècle.
Et si la quatrième de couverture nous parle ad nauseam d'Ocean's Eleven,
j'y ai plutôt vu pour ma part les mânes de l'Incal.
on trouve ainsi deux chapitres intitulés "ce qui est en haut" et "ce qui
est en bas", sept personnages (oui, je sais, c'est vraiment loin d'être
la seule histoire nous présentant sept personnages centraux format corps
contre l'adversité), et une tendance à l'eschatologie : en quelque
sorte, cette intrusion signe la fin des temps et la renaissance d'un
nouveau monde, assez semblable à l'ancien (comme L'incal, justement).
Bon, cela dit, certains décors sont plutôt amusants (le port virtuel),
comme certains personnages, mais je n'ai pas vraiment ressenti de
frisson en lisant cette histoire. C'est raisonnablement bien fait, mais
franchement, après l'avoir lu il y a moins d'un mois, j'en garde
véritablement très peu de souvenirs.
Alors du coup, je ne peux pas vraiment vous pousser à lire ce roman
correctement écrit, mais curieusement sans âme.
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Nicolas delsaux
"Putain mais quelle fichue imagination je peux avoir" - Tous à Zanzibar,
John Brunner
Nicolas delsaux
"Putain mais quelle fichue imagination je peux avoir" - Tous à Zanzibar,
John Brunner