Des LGBT+ aux H+ : l'émancipation des organes.

[Yann Minh]

Des LGBT+ aux H+ : l'émancipation des organes.


Transhumanismes et autres révolutions mémétiques.
Body empowerment. Le corps émancipé. L'organe émancipé. L'organe
délivré. Le corps démultiplié. L'organe démultiplié. L'émancipation
organique.L'émancipation des organes : Une révolution cyber-culturelle
furtive.

La révolution culturelle et mémétique mondiale du Queer, du BioHacking,
des BodyModifications, des LGBTI +, des Gender Studies, du BDSM, des
Transhumanistes, et des Singularitariens :
A la fin du 20e siècle, dans les années 80, en pleine révolution
informatique, l'amérique du nord a été le siège d'une révolution
culturelle invisible, car fragmentée en différents mouvements issus
essentiellement des jeunes chercheurs, artistes et étudiants des grandes
universités américaines et canadiennes, et dont les thèses, recherches,
manifestes, réflexions diverses avaient toutes une revendication commune
essentielle qu'on peut résumer ainsi : "Mon corps m'appartient, et ce ne
sont ni les états, ni les religions qui me dicteront ce que je peux et
dois en faire."
Amplifiée par les réseaux sociaux numériques, cette révolution
culturelle a propagée ses mèmes à travers le monde, portés par
différents mouvements, affirmations identitaires, revendications
sociales, qui ont profondément changée la relation des jeunes
générations aux autres, à leurs corps, à leurs identités.
Lorsqu'on remonte aux origines de cette nøøcontamination mémétique
massive, les premiers jalons ou marqueurs historiques visibles, sont
ceux de la cybernétique et de la littérature de Science-Fiction qui ont
été de puissants fédérateurs et vecteurs de réflexions innovantes et de
remises en questions fondamentales sur nous même, et sur les nouvelles
relations au monde et à l'univers générées par l'évolution des sciences
et techniques.
Entre autres, les jeunes penseurs, et acteurs emblématiques de cette
révolution culturelle mémétique sont dans le courant LGBTI+, Queer, et
des Gender Studies, des chercheuses comme Judith Butler, Donna Harraway
(Cyborg Manifesto)
Chez les penseurs du transhumanismes, ce sont entre autres Natasha
Vita-More, Max More, Nick Bostrom (The Transhumanist Reader)
Chez les singularitariens le plus célèbre est Ray Kurtzweil (Humanité
2.0)
et sans les rattacher à des mouvements sociaux spécifiques, de jeunes
chercheurs comme Richard Dawkins, ou Eric Drexler ont, dans les années
80 largement contribués à la propagation mémétique de cette révolution
culturelle post cyberpunk, par leurs prospectives
techno-révolutionnaires (Le gène égoiste, Engines of création).
Quarante ans plus tard, les questions, revendications, prospectives
ébauchées par ces jeunes chercheurs et universitaires sont devenus des
enjeux politiques, industriels, individuels cruciaux dans un
anthropocène confronté à la probabilité de son effondrement énergétique
et écologique proche.



Yann Minh 09/2018 . Ebauche d'argumentaire pour le colloque du festival
international de vidéo de Casablanca de 2019.

[alaroz]

Le point faible, dans l'argumentation de ces pro-posthumanisme, c'est
leur "mon corps m'appartient". Car, comme l'a dit Tchouang-Tseu, ton
corps n'est qu'une forme qui t'est prêtée par le Ciel et la Terre.

Post by Yann Minh
Des LGBT+ aux H+ : l'émancipation des organes.
Transhumanismes et autres révolutions mémétiques.
Body empowerment. Le corps émancipé. L'organe émancipé. L'organe
délivré. Le corps démultiplié. L'organe démultiplié. L'émancipation
organique.L'émancipation des organes : Une révolution cyber-culturelle
furtive.
La révolution culturelle et mémétique mondiale du Queer, du BioHacking,
des BodyModifications, des LGBTI +, des Gender Studies, du BDSM, des
A la fin du 20e siècle, dans les années 80, en pleine révolution
informatique, l'amérique du nord a été le siège d'une révolution
culturelle invisible, car fragmentée en différents mouvements issus
essentiellement des jeunes chercheurs, artistes et étudiants des grandes
universités américaines et canadiennes, et dont les thèses, recherches,
manifestes, réflexions diverses avaient toutes une revendication commune
essentielle qu'on peut résumer ainsi : "Mon corps m'appartient, et ce ne
sont ni les états, ni les religions qui me dicteront ce que je peux et
dois en faire."
Amplifiée par les réseaux sociaux numériques, cette révolution
culturelle a propagée ses mèmes à travers le monde, portés par
différents mouvements, affirmations identitaires, revendications
sociales, qui ont profondément changée la relation des jeunes
générations aux autres, à leurs corps, à leurs identités.
Lorsqu'on remonte aux origines de cette nøøcontamination mémétique
massive, les premiers jalons ou marqueurs historiques visibles, sont
ceux de la cybernétique et de la littérature de Science-Fiction qui ont
été de puissants fédérateurs et vecteurs de réflexions innovantes et de
remises en questions fondamentales sur nous même, et sur les nouvelles
relations au monde et à l'univers générées par l'évolution des sciences
et techniques.
Entre autres, les jeunes penseurs, et acteurs emblématiques de cette
révolution culturelle mémétique sont dans le courant LGBTI+, Queer, et
des Gender Studies, des chercheuses comme Judith Butler, Donna Harraway
(Cyborg Manifesto)
Chez les penseurs du transhumanismes, ce sont entre autres Natasha
Vita-More, Max More, Nick Bostrom (The Transhumanist Reader)
Chez les singularitariens le plus célèbre est Ray Kurtzweil (Humanité
2.0)
et sans les rattacher à des mouvements sociaux spécifiques, de jeunes
chercheurs comme Richard Dawkins, ou Eric Drexler ont, dans les années
80 largement contribués à la propagation mémétique de cette révolution
culturelle post cyberpunk, par leurs prospectives
techno-révolutionnaires (Le gène égoiste, Engines of création).
Quarante ans plus tard, les questions, revendications, prospectives
ébauchées par ces jeunes chercheurs et universitaires sont devenus des
enjeux politiques, industriels, individuels cruciaux dans un
anthropocène confronté à la probabilité de son effondrement énergétique
et écologique proche.
Yann Minh 09/2018 . Ebauche d'argumentaire pour le colloque du festival
international de vidéo de Casablanca de 2019.

[Yann Minh]

Oui, très bonne remarque qui illustre parfaitement une des réflexions
fondamentales du transhumanisme.

Alors non, ce n'est pas un point faible, au contraire c'est un des
enjeux du transhumanisme. C'est un point essentiel et fondamental des
premières réflexions transhumanistes : qui est de s'affranchir de la
tutelle des croyances mystiques et religieuses vis à vis du corps.

En particulier chez les extropians, qui inscrivent leurs réflexions dans
une démarche rationnelle scientifique, affranchie des postures et
croyances métaphysiques... cf le texte de Max More dans le livre : The
transhumanist reader.

après, si tu fais parti de ceux qui ont une relation métaphysique ou
mystique au monde, c'est tout a fait respectable, et de mon côté je suis
ouvert aux deux relations au monde, mais très précisément, la pensée
transhumaniste s'affirme en opposition aux pensées mystiques, et
religieuse qui induisent une dépossession du corps par les fois, les
croyances et les églises, c'est d'ailleurs pour cela qu'on trouve
beaucoup d'anti-transhumanistes dans les milieux religieux, ou les
adeptes des religions révélés. C'est normal, puisque le transhumanisme
est en opposition explicite et affirmée contre le fait que les
religions, les états, les mystiques se sont approprié leur corps au
travers de la croyance qu'il serait de nature divine, et donc appartient
au divin, et de fait, aux églises. Ce que tu illustre bien par ta
réflexion.

Post by alaroz
Le point faible, dans l'argumentation de ces pro-posthumanisme, c'est
leur "mon corps m'appartient". Car, comme l'a dit Tchouang-Tseu, ton
corps n'est qu'une forme qui t'est prêtée par le Ciel et la Terre.

Post by Yann Minh
Des LGBT+ aux H+ : l'émancipation des organes.
Transhumanismes et autres révolutions mémétiques.
Body empowerment. Le corps émancipé. L'organe émancipé. L'organe
délivré. Le corps démultiplié. L'organe démultiplié. L'émancipation
organique.L'émancipation des organes : Une révolution cyber-culturelle
furtive.
La révolution culturelle et mémétique mondiale du Queer, du BioHacking,
des BodyModifications, des LGBTI +, des Gender Studies, du BDSM, des
A la fin du 20e siècle, dans les années 80, en pleine révolution
informatique, l'amérique du nord a été le siège d'une révolution
culturelle invisible, car fragmentée en différents mouvements issus
essentiellement des jeunes chercheurs, artistes et étudiants des grandes
universités américaines et canadiennes, et dont les thèses, recherches,
manifestes, réflexions diverses avaient toutes une revendication commune
essentielle qu'on peut résumer ainsi : "Mon corps m'appartient, et ce ne
sont ni les états, ni les religions qui me dicteront ce que je peux et
dois en faire."
Amplifiée par les réseaux sociaux numériques, cette révolution
culturelle a propagée ses mèmes à travers le monde, portés par
différents mouvements, affirmations identitaires, revendications
sociales, qui ont profondément changée la relation des jeunes
générations aux autres, à leurs corps, à leurs identités.
Lorsqu'on remonte aux origines de cette nøøcontamination mémétique
massive, les premiers jalons ou marqueurs historiques visibles, sont
ceux de la cybernétique et de la littérature de Science-Fiction qui ont
été de puissants fédérateurs et vecteurs de réflexions innovantes et de
remises en questions fondamentales sur nous même, et sur les nouvelles
relations au monde et à l'univers générées par l'évolution des sciences
et techniques.
Entre autres, les jeunes penseurs, et acteurs emblématiques de cette
révolution culturelle mémétique sont dans le courant LGBTI+, Queer, et
des Gender Studies, des chercheuses comme Judith Butler, Donna Harraway
(Cyborg Manifesto)
Chez les penseurs du transhumanismes, ce sont entre autres Natasha
Vita-More, Max More, Nick Bostrom (The Transhumanist Reader)
Chez les singularitariens le plus célèbre est Ray Kurtzweil (Humanité
2.0)
et sans les rattacher à des mouvements sociaux spécifiques, de jeunes
chercheurs comme Richard Dawkins, ou Eric Drexler ont, dans les années
80 largement contribués à la propagation mémétique de cette révolution
culturelle post cyberpunk, par leurs prospectives
techno-révolutionnaires (Le gène égoiste, Engines of création).
Quarante ans plus tard, les questions, revendications, prospectives
ébauchées par ces jeunes chercheurs et universitaires sont devenus des
enjeux politiques, industriels, individuels cruciaux dans un
anthropocène confronté à la probabilité de son effondrement énergétique
et écologique proche.
Yann Minh 09/2018 . Ebauche d'argumentaire pour le colloque du festival
international de vidéo de Casablanca de 2019.

[alaroz]

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[y***@gmail.com]

Pas de contradiction avec le transhumanisme extropian qui défend précisément une collaboration bienveillante avec les animaux tout comme avec le manifeste cyborg de Donna Haraway qui dans la continuité des gender studies remet en question les frontières humain animal

[Yann Minh]

Ah ben si tu veux t'y opposer, tu trouveras toujours des arguments :-)

je pense que tu devrais plutôt lire les textes transhumanistes plutôt
que de chercher la petite bête, car en gros ta posture est en parfaite
adéquation avec les écrits transhumanistes.

je te conseil de lire : "the transhumanist reader" ... parce que la on
argumente beaucoup sur des procès d'intention et des épouvantails
réthoriques :-)

Post by alaroz
Les religions et les églises s'opposent au transhumanisme, mais ce n'est
sûrement pas la seule opposition possible. Je ne pense pas être atteint
de religiosité ni de mysticisme (ou alors, à mon "corps" défendant). On
peut interpréter "la Terre" et "le Ciel" de manière religieuse, ou y
voir simplement la Nature (qui peut elle-même être vue de manière
mystique... ou pas).
On peut considérer qu'on est (et notre corps avec) le produit d'une
évolution darwinienne qui a duré des millions d'années, et que notre
corps n'est pas un objet qu'on s'est acheté au supermarché du coin.
De même qu'on peut penser que les animaux ne sont pas des objets à notre
disposition, et que "ce n'est pas la terre qui appartient à l'homme,
c'est l'homme qui appartient à la terre", comme l'a dit le grand chef
indien (Sitting Bull je crois).
Bref, c'est plutôt une vision écolo que je défends : ni les animaux, ni
la planète, ni notre corps ne nous appartiennent comme des objets ou des
marchandises.
Et puis, il y a ce côté individualiste insupportable dans ce "mon corps
m'appartient" ou "je fais ce que je veux avec mon corps". Non: c'est un
corps humain, et ce qu'on fait avec concerne donc toute l'humanité.
Comme disait (à peu près) Sartre, on engage tous les humains dans chacun
de nos choix et de nos actes (mais je ne veux pas passer non plus pour
un érudit, je n'y connais pas grand-chose en philo, je viens d'épuiser
en deux messages quasiment toutes mes références...)
Bon, le jour où on sera tous numérisés ce sera peut-être différent... Ou
pas.
En tout cas le sujet est loin d'être épuisé.
A+,

Post by Yann Minh
Oui, très bonne remarque qui illustre parfaitement une des réflexions
fondamentales du transhumanisme.
Alors non, ce n'est pas un point faible, au contraire c'est un des
enjeux du transhumanisme. C'est un point essentiel et fondamental des
premières réflexions transhumanistes : qui est de s'affranchir de la
tutelle des croyances mystiques et religieuses vis à vis du corps.
En particulier chez les extropians, qui inscrivent leurs réflexions dans
une démarche rationnelle scientifique, affranchie des postures et
croyances métaphysiques... cf le texte de Max More dans le livre : The
transhumanist reader.
après, si tu fais parti de ceux qui ont une relation métaphysique ou
mystique au monde, c'est tout a fait respectable, et de mon côté je suis
ouvert aux deux relations au monde, mais très précisément, la pensée
transhumaniste s'affirme en opposition aux pensées mystiques, et
religieuse qui induisent une dépossession du corps par les fois, les
croyances et les églises, c'est d'ailleurs pour cela qu'on trouve
beaucoup d'anti-transhumanistes dans les milieux religieux, ou les
adeptes des religions révélés. C'est normal, puisque le transhumanisme
est en opposition explicite et affirmée contre le fait que les
religions, les états, les mystiques se sont approprié leur corps au
travers de la croyance qu'il serait de nature divine, et donc appartient
au divin, et de fait, aux églises. Ce que tu illustre bien par ta
réflexion.

Post by alaroz
Le point faible, dans l'argumentation de ces pro-posthumanisme, c'est
leur "mon corps m'appartient". Car, comme l'a dit Tchouang-Tseu, ton
corps n'est qu'une forme qui t'est prêtée par le Ciel et la Terre.

Post by Yann Minh
Des LGBT+ aux H+ : l'émancipation des organes.
Transhumanismes et autres révolutions mémétiques.
Body empowerment. Le corps émancipé. L'organe émancipé. L'organe
délivré. Le corps démultiplié. L'organe démultiplié. L'émancipation
organique.L'émancipation des organes : Une révolution cyber-culturelle
furtive.
La révolution culturelle et mémétique mondiale du Queer, du BioHacking,
des BodyModifications, des LGBTI +, des Gender Studies, du BDSM, des
A la fin du 20e siècle, dans les années 80, en pleine révolution
informatique, l'amérique du nord a été le siège d'une révolution
culturelle invisible, car fragmentée en différents mouvements issus
essentiellement des jeunes chercheurs, artistes et étudiants des grandes
universités américaines et canadiennes, et dont les thèses, recherches,
manifestes, réflexions diverses avaient toutes une revendication commune
essentielle qu'on peut résumer ainsi : "Mon corps m'appartient, et ce ne
sont ni les états, ni les religions qui me dicteront ce que je peux et
dois en faire."
Amplifiée par les réseaux sociaux numériques, cette révolution
culturelle a propagée ses mèmes à travers le monde, portés par
différents mouvements, affirmations identitaires, revendications
sociales, qui ont profondément changée la relation des jeunes
générations aux autres, à leurs corps, à leurs identités.
Lorsqu'on remonte aux origines de cette nøøcontamination mémétique
massive, les premiers jalons ou marqueurs historiques visibles, sont
ceux de la cybernétique et de la littérature de Science-Fiction qui ont
été de puissants fédérateurs et vecteurs de réflexions innovantes et de
remises en questions fondamentales sur nous même, et sur les nouvelles
relations au monde et à l'univers générées par l'évolution des sciences
et techniques.
Entre autres, les jeunes penseurs, et acteurs emblématiques de cette
révolution culturelle mémétique sont dans le courant LGBTI+, Queer, et
des Gender Studies, des chercheuses comme Judith Butler, Donna Harraway
(Cyborg Manifesto)
Chez les penseurs du transhumanismes, ce sont entre autres Natasha
Vita-More, Max More, Nick Bostrom (The Transhumanist Reader)
Chez les singularitariens le plus célèbre est Ray Kurtzweil (Humanité
2.0)
et sans les rattacher à des mouvements sociaux spécifiques, de jeunes
chercheurs comme Richard Dawkins, ou Eric Drexler ont, dans les années
80 largement contribués à la propagation mémétique de cette révolution
culturelle post cyberpunk, par leurs prospectives
techno-révolutionnaires (Le gène égoiste, Engines of création).
Quarante ans plus tard, les questions, revendications, prospectives
ébauchées par ces jeunes chercheurs et universitaires sont devenus des
enjeux politiques, industriels, individuels cruciaux dans un
anthropocène confronté à la probabilité de son effondrement énergétique
et écologique proche.
Yann Minh 09/2018 . Ebauche d'argumentaire pour le colloque du festival
international de vidéo de Casablanca de 2019.

[robby]

Post by alaroz
On peut considérer qu'on est (et notre corps avec) le produit d'une
évolution darwinienne qui a duré des millions d'années, et que notre
corps n'est pas un objet qu'on s'est acheté au supermarché du coin.

so what ?
à ce compte, les maladies, les infirmités, la vue qui baisse a partir de
40 ans, etc, sont également le "produit d'une évolution darwinienne qui
a duré des millions d'années". Il faudrait donc ne surtout pas lutter
contre, banir les lunettes et les pacemakers, etc ?

Post by alaroz
Et puis, il y a ce côté individualiste insupportable dans ce "mon corps
m'appartient" ou "je fais ce que je veux avec mon corps". Non: c'est un
corps humain, et ce qu'on fait avec concerne donc toute l'humanité.

tu mélange le corps individuel, et les gènes: oui, modifier les gamètes
est touchy puisque ça se transmet aux générations suivantes. Mais pas
tes tatouages ou autre modifications.

[Nicolas Krebs]

alaroz écrivit dans l'article news:5bb9cd07$0$5492$***@news.free.fr

(réponse à l'envers)

Hé connard, vous avez jamais lu
http://www.usenet-fr.net/fur/usenet/repondre-sur-usenet.html ?

Post by alaroz
On peut considérer qu'on est (et notre corps avec) le produit d'une
évolution darwinienne qui a duré des millions d'années

Hé ducon, vous êtes au courant que la théorie darwinienne est obsolète
depuis soixante ans ?

[Jean-Luc]

Post by Nicolas Krebs
(réponse à l'envers)
Hé connard, vous avez jamais lu
http://www.usenet-fr.net/fur/usenet/repondre-sur-usenet.html ?

Bonjour Nicolas,

je crois que tu t'emportes. Un peu trop. :-]

Si ça se trouve il y a des nouveaux sur usenet / googlegroups (certains
sont sur usenet sans le savoir !).

[robby]

Post by Nicolas Krebs
Hé connard, vous avez jamais lu

euh, pourquoi tant de brutalité ? ou tu as déjà eu affaire au bonhomme ?

Post by Nicolas Krebs
Hé ducon, vous êtes au courant que la théorie darwinienne est obsolète
depuis soixante ans ?

euh, non, on ne peut pas vraiment dire ça. D'autant que "théorie
darwinienne" ça ne désigne rien d'ultra-précis, à part l'idée
d'évolution, et de sélection par biais reproductif. Rien d'incompatible
avec les équilibres ponctués, les sursauts, les transferts horizontaux,
les rétro-virus, et j'en passe.