Jean-Luc
2019-04-27 19:56:41 UTC
Un roman-Univers dans l'Univers des portes de Vangk qui permet d'en
avoir une vision plus globale que les mondes esquissés lors des autres
romans. l'histoire de la fondation d'une compagnie de transport
interstellaire ayant vocation à permettre aux mondes les plus reculés de
commercer.
La thème est original et propose comme personnage principal la compagnie
elle-même. D'abord à travers ses fondateurs, puis des capitaines de
vaisseaux.
On reste d'ailleurs dans une métaphore du commerce maritime soit dit en
passant.
Il en ressort une écriture par épisodes, une sorte de faux fix-up qui
fait penser à Fondation (d'Asimov bien entendu). L'histoire cependant ne
se déroule que sur une bonne vingtaine d'années (à la louche).
Contrairement aux narrations classiques, il n'y a a pas d'objectif au
roman, si ce n'est le fait que la société de transport, La Spire, ne
perdure malgré les rebondissement de la jungle économique les coups bas
et autres. Au final d'ailleurs un point de vue assez désabusé de
l'auteur sur l'économie, tout à fait transposable au présent (Ecken : le
futur se conjugue au présent) qui dénonce la bataille perdue de la
philanthropie sur le fric, sur la nécessité de grandir pour survivre
(combien d’années Amazon a-t-elle été déficitaire et en croissance (!)
pour arriver à la situation actuelle.
Pourtant ce roman est aussi un panorama de biosphères improbables et
variées comme dans Endymion de Dan Simmons. un sacré voyage dans des
cultures diverses avec des problèmes éthiques moteurs de l'Histoire, des
problématiques biologiques particulières vues de l’œil de ces capitaines
qui voient surtout les planètes comme des puits de gravité (donc comme
une sorte de prison).
Ce roman n'aurait pas pu être un premier roman : l'intrigue n'est aps
asse stimulante pour attirer le lecteur profane. Pourtant l'approche de
Laurent Genefort a produit là un résultat tout à fait agréable et
stimulant, et surtout qui répond à pas mal de question sur l'Univers des
portes de Vangk, resté si mystérieux.
avoir une vision plus globale que les mondes esquissés lors des autres
romans. l'histoire de la fondation d'une compagnie de transport
interstellaire ayant vocation à permettre aux mondes les plus reculés de
commercer.
La thème est original et propose comme personnage principal la compagnie
elle-même. D'abord à travers ses fondateurs, puis des capitaines de
vaisseaux.
On reste d'ailleurs dans une métaphore du commerce maritime soit dit en
passant.
Il en ressort une écriture par épisodes, une sorte de faux fix-up qui
fait penser à Fondation (d'Asimov bien entendu). L'histoire cependant ne
se déroule que sur une bonne vingtaine d'années (à la louche).
Contrairement aux narrations classiques, il n'y a a pas d'objectif au
roman, si ce n'est le fait que la société de transport, La Spire, ne
perdure malgré les rebondissement de la jungle économique les coups bas
et autres. Au final d'ailleurs un point de vue assez désabusé de
l'auteur sur l'économie, tout à fait transposable au présent (Ecken : le
futur se conjugue au présent) qui dénonce la bataille perdue de la
philanthropie sur le fric, sur la nécessité de grandir pour survivre
(combien d’années Amazon a-t-elle été déficitaire et en croissance (!)
pour arriver à la situation actuelle.
Pourtant ce roman est aussi un panorama de biosphères improbables et
variées comme dans Endymion de Dan Simmons. un sacré voyage dans des
cultures diverses avec des problèmes éthiques moteurs de l'Histoire, des
problématiques biologiques particulières vues de l’œil de ces capitaines
qui voient surtout les planètes comme des puits de gravité (donc comme
une sorte de prison).
Ce roman n'aurait pas pu être un premier roman : l'intrigue n'est aps
asse stimulante pour attirer le lecteur profane. Pourtant l'approche de
Laurent Genefort a produit là un résultat tout à fait agréable et
stimulant, et surtout qui répond à pas mal de question sur l'Univers des
portes de Vangk, resté si mystérieux.
--
Jean-Luc Pruvost
*La phrase suivante est une citation générée aléatoirement.*
- Calculer l'aire d'une pizza de rayon z.
- pi*z*z = a
Jean-Luc Pruvost
*La phrase suivante est une citation générée aléatoirement.*
- Calculer l'aire d'une pizza de rayon z.
- pi*z*z = a