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(trop ancien pour répondre)
Yann Minh
2017-08-07 23:43:23 UTC
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Un petit test pour voir si je suis toujours connecté...
--
***@yannminh.org
http://www.yannminh.org
http://noocrypte.com
http://noomuseum.net
Pierre Hallet
2017-08-08 08:11:56 UTC
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Post by Yann Minh
Un petit test pour voir si je suis toujours connecté...
Vous êtes bien visible. ;-)

Pierre Hallet
Yann Minh
2017-08-08 10:32:26 UTC
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Merci :-) c'est un plaisir de voir qu'il y a encore du monde ici...
Post by Pierre Hallet
Post by Yann Minh
Un petit test pour voir si je suis toujours connecté...
Vous êtes bien visible. ;-)
Pierre Hallet
--
***@yannminh.org
http://www.yannminh.org
http://noocrypte.com
http://noomuseum.net
Jean-Luc
2017-08-08 12:36:22 UTC
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Post by Yann Minh
Un petit test pour voir si je suis toujours connecté...
Yep
--
Jean-Luc Pruvost

« Aujourd'hui, on ne peut bien parler du présent qu'au futur. » (Claude
Ecken)
Nicolas Delsaux
2017-08-18 20:00:36 UTC
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Post by Yann Minh
Un petit test pour voir si je suis toujours connecté...
Oh t'es là ? Et ben moi aussi j'ai décidé de remettre mes pieds dans
cette piscine
--
Nicolas Delsaux
"Putain, mais quelle fichue imagination je peux avoir !"
John Brunner - Tous à Zanzibar
Yliur
2017-08-18 20:15:10 UTC
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Le Fri, 18 Aug 2017 22:00:36 +0200
Post by Nicolas Delsaux
Post by Yann Minh
Un petit test pour voir si je suis toujours connecté...
Oh t'es là ? Et ben moi aussi j'ai décidé de remettre mes pieds dans
cette piscine
\o/

Des revenants !

Et tu as lu "L'alliance" ?
Nicolas Delsaux
2017-08-19 19:12:19 UTC
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Post by Yliur
\o/
Des revenants !
Et tu as lu "L'alliance" ?
Mmmh, de qui ? En tout cas, ça ne me dit rien.
Dans les trucs pas mal que j'ai lu, il y a curieusement "Les enfants de
Poséïdon" d'Alastair Reynolds, "La justice de l'ancilaire" (très bon),
et la série du dernier apprenti sorcier de Ben Abramovitch.
--
Nicolas Delsaux
"Putain, mais quelle fichue imagination je peux avoir !"
John Brunner - Tous à Zanzibar
Yliur
2017-08-19 22:32:37 UTC
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Le Sat, 19 Aug 2017 21:12:19 +0200
Post by Nicolas Delsaux
Post by Yliur
Et tu as lu "L'alliance" ?
Mmmh, de qui ? En tout cas, ça ne me dit rien.
Oh !

De Lois McMaster Bujold, bien sûr...

Avec le cousin Ivan en personnage principal.
Nicolas Delsaux
2017-08-22 19:38:34 UTC
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Post by Yliur
Oh !
De Lois McMaster Bujold, bien sûr...
Avec le cousin Ivan en personnage principal.
Ah oui, ça me revient :

Ca faisait bien longtemps que je n'avais pas remis les pieds sur Barrayar.
Et si le fait de remplacer Miles par Ivan a engendré en moi une
déception initiale due au fait qu'Ivan soit vu comme un débile léger par
le nabot le plus hyperactif de l'espace, cette déception a été
rapidement évacuée par la densité de l'intrigue initiale sur Komarr. Je
m'explique ... lorsqu'Ivan se retrouve impliqué dans les aventures de
Tej, le tourbillon d'aventure très typique des aventures décrites par
l'auteur laisse assez peu de temps au héros, qui réagit toutefois avec
un à-propos assez bien trouvé (quoique peut-être un peu trop "comédie
romantique amércaine" à mon goût) pour envoyer l'intrigue dans une
nouvelle orbite. Et là, j'ai craint le pire, puisque cette orbite
Barrayaranne envoie Ivan faire le tour de sa famille élargie. On a donc
droit, en un sens, à un passage un peu "fan-service" où Ivan nous
rappelle, très subtilement cela dit, les aventures de Cordelia, Miles,
Mark, et autres amis de la famille (en y incluant évidement l'Empereur
lui-même). Heureusement, la troisième partie du roman est bien
redynamisée par une espèce de chasse au trésor assez marrante.
Bon, je ne peux pas m'en cacher, j'ai vraiment beaucoup apprécié cette
comédie romantique pleine d'action, d'amour, de drames familiaux, et de
mille autres ingrédients qui font le succès de la saga Vorkosigan. A un
point tel que je relirai bien un ou deux vieux tomes, par pure
nostalgie. L'une des premières raisons, évidement, c'est Ivan, qui est
franchement loin d'être demeuré, mais qui est plutôt un type qui a
compris que la vie de ses cousins (Miles et Gregor) était incroyablement
plus compliquée que la sienne, et qui ne veut surtout, mais alors
surtout pas, que ça se complique. Du coup, ce qu'on croyait être de la
lenteur est en fait une stratégie visant à lui éviter au maximum les
honneurs. Ce qui en fait un personnage bien plus profond que ce qu'on
croyait. Et d'une façon un peu moins prononcée, c'est également le cas
de Tej, dont les rapports familiaux typiquement Jacksoniens apportent un
éclairage curieux à son comportement initial. Du coup, il y a
franchement une forme de défi à faire porter l'intrigue à des
personnages qui ne veulent pas être des héros, défi parfaitement rempli
à mon goût. En bonus, l'un des intérêts annexes de cette histoire est
que, grâce à ces personnages centraux un peu plus effacés, les
personnages secondaires - qui ont eu une densité terrifiante - prennent
toute leur place pour donner à ce roman un côté histoire de famille
vraiment chouette.
Et en plus, c'est un authentique portrait en mouvement puisque, comme je
l'ai écrit plus haut, il se passe toujours quelque chose dans cette
histoire. Et souvent, ce quelque chose n'est pas une simple brouille
personnelle, mais une sombre histoire de vengeance, d'avidité ou de goût
de l'intrigue immodéré. Tous ces ingrédients donnent bien sûr une saveur
assez épicée à cette oeuvre qui réserve de beaux moments de bravoure
(toute la submersion de la SécImp, évidement, mais aussi certains dîners
de famille).
Bon, évidement, je suis partial. Mais franchement, c'est une bonne
histoire de Barrayarans. Et, en un sens, c'est peut-être la meilleure
façon de rentrer dans cette histoire. Lisez-le, ça vaut le coup.
--
Nicolas Delsaux
"Putain, mais quelle fichue imagination je peux avoir !"
John Brunner - Tous à Zanzibar
Yliur
2017-08-23 03:17:34 UTC
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Le Tue, 22 Aug 2017 21:38:34 +0200
Post by Nicolas Delsaux
Post by Yliur
Oh !
De Lois McMaster Bujold, bien sûr...
Avec le cousin Ivan en personnage principal.
Ca faisait bien longtemps que je n'avais pas remis les pieds sur
Barrayar. Et si le fait de remplacer Miles par Ivan a engendré en moi
une déception initiale due au fait qu'Ivan soit vu comme un débile
léger par le nabot le plus hyperactif de l'espace, cette déception a
été rapidement évacuée par la densité de l'intrigue initiale sur
Komarr. Je m'explique ... lorsqu'Ivan se retrouve impliqué dans les
aventures de Tej, le tourbillon d'aventure très typique des aventures
décrites par l'auteur laisse assez peu de temps au héros, qui réagit
toutefois avec un à-propos assez bien trouvé (quoique peut-être un
peu trop "comédie romantique amércaine" à mon goût) pour envoyer
l'intrigue dans une nouvelle orbite. Et là, j'ai craint le pire,
puisque cette orbite Barrayaranne envoie Ivan faire le tour de sa
famille élargie. On a donc droit, en un sens, à un passage un peu
"fan-service" où Ivan nous rappelle, très subtilement cela dit, les
aventures de Cordelia, Miles, Mark, et autres amis de la famille (en
y incluant évidement l'Empereur lui-même). Heureusement, la troisième
partie du roman est bien redynamisée par une espèce de chasse au
trésor assez marrante. Bon, je ne peux pas m'en cacher, j'ai vraiment
beaucoup apprécié cette comédie romantique pleine d'action, d'amour,
de drames familiaux, et de mille autres ingrédients qui font le
succès de la saga Vorkosigan. A un point tel que je relirai bien un
ou deux vieux tomes, par pure nostalgie. L'une des premières raisons,
évidement, c'est Ivan, qui est franchement loin d'être demeuré, mais
qui est plutôt un type qui a compris que la vie de ses cousins (Miles
et Gregor) était incroyablement plus compliquée que la sienne, et qui
ne veut surtout, mais alors surtout pas, que ça se complique. Du
coup, ce qu'on croyait être de la lenteur est en fait une stratégie
visant à lui éviter au maximum les honneurs. Ce qui en fait un
personnage bien plus profond que ce qu'on croyait. Et d'une façon un
peu moins prononcée, c'est également le cas de Tej, dont les rapports
familiaux typiquement Jacksoniens apportent un éclairage curieux à
son comportement initial. Du coup, il y a franchement une forme de
défi à faire porter l'intrigue à des personnages qui ne veulent pas
être des héros, défi parfaitement rempli à mon goût. En bonus, l'un
des intérêts annexes de cette histoire est que, grâce à ces
personnages centraux un peu plus effacés, les personnages secondaires
- qui ont eu une densité terrifiante - prennent toute leur place pour
donner à ce roman un côté histoire de famille vraiment chouette.
Et en plus, c'est un authentique portrait en mouvement puisque, comme
je l'ai écrit plus haut, il se passe toujours quelque chose dans
cette histoire. Et souvent, ce quelque chose n'est pas une simple
brouille personnelle, mais une sombre histoire de vengeance,
d'avidité ou de goût de l'intrigue immodéré. Tous ces ingrédients
donnent bien sûr une saveur assez épicée à cette oeuvre qui réserve
de beaux moments de bravoure (toute la submersion de la SécImp,
évidement, mais aussi certains dîners de famille).
Bon, évidement, je suis partial. Mais franchement, c'est une bonne
histoire de Barrayarans. Et, en un sens, c'est peut-être la meilleure
façon de rentrer dans cette histoire. Lisez-le, ça vaut le coup.
Je ne peux que te suivre dans ton avis, j'ai beaucoup aimé cette
histoire également. Plus que Cryoburn, dont le thème et la trame de
fond étaient plus inhabituels et plus intéressants mais dont le rythme
souffrait de l'absence de Miles (sauf dans les rares moments dans
lesquels il s'agitait).

Je suis très content d'avoir "découvert" Ivan, de voir le personnage
creusé. Il me semble qu'il a toujours été explicite sur les motivations
qui le poussent à se tenir à l'écart (ne pas s'attirer d'ennuis /
complications) et on l'a vu parfois débrouillard, mais effectivement le
personnage restait ambigu. "Ce crétin d'Ivan"... je crois même que ça
commence avec Aral, non ? Je l'ai vu avec plaisir prendre de
l'épaisseur dans cette aventure pleine d'humour.

J'aime aussi voir apparaître Gregor, discret mais toujours brillant dans
ses interventions réfléchies (Cordelia a également une aura très
puissante, mais pas dans cette histoire-ci).
Nicolas Delsaux
2017-08-24 07:32:14 UTC
Permalink
Post by Yliur
J'aime aussi voir apparaître Gregor, discret mais toujours brillant dans
ses interventions réfléchies (Cordelia a également une aura très
puissante, mais pas dans cette histoire-ci).
Pour moi, Gregor est l'équivalent du patricien chez Pratchett : un
personnage donnant une image d'une telle supériorité intellectuelle
qu'il vaut mieux le garder pour des grandes occasions ...
Cela dit, j'apprécie effectivement toujours les passages où il apparaît.
--
Nicolas Delsaux
"Putain, mais quelle fichue imagination je peux avoir !"
John Brunner - Tous à Zanzibar
Yann Minh
2017-08-21 20:03:55 UTC
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Ah vi... suis la...

je viens de déménager, j'habite désormais dans le batiment dystopique
construit par Ricardo Boffil en 1984, à Noisy Le Grand. Dans le Théâtre
du Palacio d'Abraxas. Ce qui fait que j'ai transféré mon compte free à
cette nouvelle adresse.
Et .. miracle, mon lecteur de newsgroup, qui n'arrivait pas à ouvrir
usenet quand j'étais dans le 15e, a ouvert Frasf et les autres newsgroup
sans problème... cool...

Je vais pouvoir de nouveau arpenter les salons désertés de ce vieux
nøølabyrinthe cyberpunk inconnu des digital natifs... et y laisser mes
timecapsules pour l'éternité cyberspatiale...

Yann, NøøStalgique...
Post by Nicolas Delsaux
Post by Yann Minh
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cette piscine
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Nicolas Delsaux
2017-08-22 19:39:54 UTC
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Post by Yann Minh
Ah vi... suis la...
Je vais pouvoir de nouveau arpenter les salons désertés de ce vieux
nøølabyrinthe cyberpunk inconnu des digital natifs... et y laisser mes
timecapsules pour l'éternité cyberspatiale...
L'avantage, c'est que les sombres couloirs d'usenet sont maintenant
quasiment déserts, ce qui donne effectivement une ambiance très cyberpunk.
--
Nicolas Delsaux
"Putain, mais quelle fichue imagination je peux avoir !"
John Brunner - Tous à Zanzibar
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